Planification ludique

La dimension temporelle n’est pas évidente à visualiser : bon nombre de logiciels nous proposent d’ailleurs des solutions graphiques permettant de matérialiser cette mesure ô combien importante de notre réel. Ils y parviennent pour la plupart très bien, pour peu qu’on les maîtrise un minimum.

Mais quand votre objectif est de travailler sur le sujet général de la planification, il peut devenir utile de « palper » la question.

Alors que j’étais sur mon tableur préféré à essayer de construire un outil pédagogique devant servir cet objectif, j’ai soudainement vu en lieu et place des petites cases colorées des petites briques colorées… Comment résister à un prétexte de plus pour jouer aux lego ?

Quelques plaques assemblées judicieusement pour faire un « stock » de semaines, quelques briques triées par couleur et dimensions pour matérialiser les types d’activités des projets dont nous allions devoir traiter, et tout était dans les clous.

Après un inventaire des activités, un référentiel établi, il ne restait plus qu’à matérialiser sur une ligne temporelle faite de plaques assemblées les unes aux autres les différentes activités d’un projet. Très facile ensuite de voir -en les mettant en parallèle- les conditions d’imbrication de plusieurs projets simultanés.

Cet outil ne remplace pas un ‘vrai’ outil de planification, mais -inspiré des bons vieux tableaux à onglets-, il permet de rentrer plus concrètement dans le sujet de la planification et – ce qui n’est pas négligeable- permet également aux collaborateurs de travailler ensemble, en partageant un moment ludique et agréable.

 

Théorie du patatoïde

Est-ce qu’un dessin vaut vraiment mieux qu’un long discours ?

J’aurais bien des choses à dire autour de celui-ci (d’ailleurs, j’en dis quelques-unes à chaque fois qu’il ne manque pas de ressortir dans l’une ou l’autre des formations que j’anime), mais faisons le test, et voyons ce qu’il vous dit à vous, sans légende ni explication.

Vous désirez ? Une petite part de compétence svp.

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Que faire de son temps, à part le partager ? Qu’on voie le gâteau comme 24 parts d’1 heure, 7 septièmes de semaine, 365 miettes d’année, ou encore un ?ème de vie, ce n’est qu’à nous-mêmes qu’échoie cette responsabilité du partage de notre temps. Chacun son cocktail, avec toutes les proportions possibles de métro, de boulot, de dodo, mais aussi – et heureusement- de famille, de loisirs, de culture,…

Cette logique de partage du temps peut finalement aussi s’appliquer au travail : on change alors le boulot par ‘les boulots‘, et on y trouve une nouvelle diversité et potentiellement un intérêt renouvelé.

Personnellement, je vais tester : l’idée est de pouvoir faire profiter de mes compétences expertes des structures de taille petite et moyenne qui rarement intègrent à temps plein un profil comme le mien.

Pour une mission ponctuelle intense ou une présence et un accompagnement plus léger mais pérenne, le temps partagé offre des solutions modernes aux fameuses nouvelles problématiques du marché de l’emploi, sans en fracasser forcément toutes les composantes sociales.

Cap Compétences offre un cadre à cette démarche : je l’ai aujourd’hui rejointe.

http://capcompetences.eu/site/

Cadres en Mission

On me le disait de temps en temps, quand j’étais gamin : « Laurent, tu te laisses porter là… »

Cette tendance à profiter de l’énergie cinétique que j’avais – au préalable – produite avec efforts, me semblait être intelligente.

Il est moins nécessaire de pédaler dans les descentes que pour franchir les cols. Je pense avoir compris le concept d’efficience avant même qu’on ne me le définisse précisément.

C’est ainsi que, dans une situation où je cherche à faire bénéficier de mes compétences et du fruit de mes expériences un maximum de personnes et d’organisations, j’ai choisi … de me laisser porter !

Oui ; pour être déjà passé par la case « créateur d’entreprise », je sais ce que cela nécessite de démarches et d’énergie, non seulement pour faire décoller la structure, mais aussi pour la maintenir administrativement en orbite. Me limitant désormais à de pures prestations, je n’ai pas besoin d’une telle base, et j’ai donc naturellement choisi le portage salarial pour encadrer mon activité, et me consacrer ainsi exclusivement à la recherche de missions passionnantes et à leur exécution.

Alors, voilà : bienvenue à Cadres en Mission dans mon parcours professionnel !

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